Après Pourquoi l’Ukraine, qui documentait les premiers mois de cette guerre voulue par la Russie, BHL est retourné au plus près des combattants ukrainiens et des victimes civiles.
Slava Ukraini reprend là où le précédent documentaire s’arrêtait.
Ce film, qui sortira en salle le 22 février 2023, Bernard-Henri Lévy l’a présenté le 6 février au cinéma Le Balzac, à Paris, en présence de sa fidèle équipe de tournage (Marc Roussel, Gilles Hertzog, Olivier Jacquin, Yaroslav Prokopenko) mais aussi d’Ukrainiens dont il raconte l’histoire dans son film (le vétéran d’Azovstal Ilya Samoïlenko, le rabbin d’Ouman Rav Nathan Ben Noon, Sviatoslav Vakarchuk qui a composé la musique de Slava Ukraini, ainsi que le compagnon de route Sergeï Osipenko).
Slava Ukraini a ému les deux salles combles du cinéma composées par un public hétéroclite, où se sont mêlés écrivains (Marc Lambron, Tahar Ben Jelloun, Christine Orban, Jean-Paul Enthoven, Pascal Bacqué, Nathan Devers), femmes et hommes politiques (Anne Hidalgo, François Hollande, Manuel Valls, Jean-Michel Blanquer, Roselyne Bachelot, Philippe Douste-Blazy), intellectuels (Caroline Fourest, Romain Goupil, Pascal Bruckner), éditeurs (Olivier Nora, François Samuelson), journalistes (Anne Sinclair, Alexis Lacroix, Claire Chazal, Laurent Joffrin, Jean-Pierre Elkabbach, Maurice Szafran, James Taranto, PJ Ramirez), personnalités du cinéma et artistes (Golshifteh Farahani, Alexandre Arcady, Patrick Bruel, Nicolas Bedos, Stanislas Merhar, Danièle Thompson, Michèle Halberstadt, Vincent Darré, Ali Mahdavi, James Thierrée, Jean-Charles de Castelbajac, Bertrand Burgalat), personnalités des médias (Delphine Ernotte, Maurice Lévy, Nicolas Seydoux, Marin Karmitz), l’ambassadeur d’Ukraine Vadym Omelchenko.
Ce public donc, qui a ovationné débout Slava Ukraini (« Gloire à l’Ukraine »), a adressé ses applaudissements au film, à son équipe et à ses protagonistes, mais aussi à l’Ukraine et à ses forces de résistance.