Révolution libyenne : le serment de Tobrouk de BHL

Photos par Marc Roussel

« Comme un grand coup de vent balaie toutes les certitudes, Bernard-Henri Lévy m’a appelé ce midi. Dix ans après la chute des Talibans, il projette d’assister à celle de Kadhafi. » Nous sommes à la fin du mois de février 2011 et je note aussi dans mon journal que, toutes affaires cessantes et porté par le souffle de l’histoire, j’embarque avec lui pour Benghazi.

Onze voyages et huit mois plus tard, la dictature a pris fin. De la Cyrénaïque à Tripoli en passant par Misrata, le Djebel Nefoussa ou Syrte, nous avons accumulé tant d’images et de fractions de cette grande histoire que naîtra notre premier film commun : Le Serment de Tobrouk.

Bernard-Henri Lévy dans la ville de Salloum, en Egypte, la nuit, il est entouré par des hommes qui portent des bonnets et des capuches. — Bernard-Henri Lévy dans la ville de Salloum, en Egypte, à quelques kilomètres de la frontière libyenne, en mars 2011. ©Marc Roussel

Dans une jeep militaire, qui porte de l'artillerie à l'arrière du véhicule, des hommes font le signe V de la victoire et portent haut leurs mitraillettes. — La « Révolution des Jeunes » à Tobrouk. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy à Labrak, sur la piste de l'aéroport, il marche près d'un camion renversé sur le côté. — Sur la piste de l’aéroport de Labrak. ©Marc Roussel

A Benghazi, un manifestant présente le régime de Kadhafi comme un « film d'horreur qui dure depuis 42 ans ». Parmi la foule sa pancarte représente des têtes de mort et le visage de Kadhafi. — A Benghazi, un manifestant présente le régime de Kadhafi comme un « film d’horreur qui dure depuis 42 ans ». ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy à Benghazi, parmi la foule de la Révolution des jeunes. Il parle et sert la main d'un jeune manifestant qui porte sur ses épaules le drapeau de la Libye. — Avec les jeunes révoltés de Benghazi. ©Marc Roussel

Visage d'un enfant qui porte sur son visage un maquillage qui représente le drapeau de la Libye. — Dans la foule, à Benghazi. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy à Benghazi. — Dans les rues de Benghazi. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy, dans les ruines de Benghazi. Seuil, il marche au milieu des débris et des cendres. — Bernard-Henri Lévy, dans les ruines de Benghazi. ©Marc Roussel

Les femmes libyennes réclament la paix et la liberté dans les rues de Benghazi. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy et le président du Conseil national de transition (CNT), Moustapha Abdeljalil, à Benghazi. Ils se sert la main. — Bernard-Henri Lévy et le président du Conseil national de transition (CNT), Moustapha Abdeljalil, à Benghazi. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy Dans les décombres de la ville de Benghazi en Libye. Il aide un homme à marcher en lui tendant le bras. — Dans les décombres de la ville de Benghazi en Libye. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy et Gilles Hertzog à Benghazi. Ils regardent des plans militaires autour d'une table avec des militaires en uniformes. — Bernard-Henri Lévy et Gilles Hertzog à Benghazi. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy participe à la création du CNT, Conseil National de Transition en Libye. Il est sur un canapé entouré par des responsables libyens — La transition en Libye se met en place. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy est sur le front, avec les rebelles Libyens à Ajdabiyah, en avril 2011. Il est a côté d'un élément d'artillerie avec des militaires. — Sur le front, avec les rebelles Libyens à Ajdabiyah, en avril 2011. ©Marc Roussel

Avec les insurgés libyens à Benghazi, en avril 2011. Parmi les drapeaux libyens et français, il porte autour de son cou le drapeau de la Libye. — Avec les insurgés libyens à Benghazi, en avril 2011. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy sous la Croix de Lorraine, au cimetière de Bir-Hakeim reconstitué à Tobrouk en Libye. Il est entouré par cinq hommes dont un qui est Gilles Hertzog. — Bernard-Henri Lévy sous la Croix de Lorraine, au cimetière de Bir-Hakeim reconstitué à Tobrouk en Libye. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy dans l'avion vers Marsa Matrouh. Il est accompagné par plusieurs homme, il parle à celui qui est assis à côté de lui. — Vers Marsa Matrouh, en Egypte. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy écrit sur le bateau qui, depuis Malte, le mènera dans le port de Misrata en Libye. Il est assis sur un canot de sauvetage. À côté de lui un musulman prie à genoux. — Bernard-Henri Lévy écrit sur le bateau qui, depuis Malte, le mènera dans le port de Misrata en Libye. ©Marc Roussel

Les phares des voitures éclairent un bâtiment détruit, et ses décombres. au milieu, il y a deux hommes armés. — La nuit, dans les décombres de Misrata. ©Marc Roussel

Les forces de Kadhafi se sont acharnées sur la ville de Misrata. Bernard-Henri Lévy marche dans une ville en ruine, déserte, en compagnie de deux hommes. — Les forces de Kadhafi se sont acharnées sur la ville de Misrata. ©Marc Roussel

Vue de Misrata, ville détruite par les hommes de Kadhafi. Les immeubles sont éventrés, brûlés, bombardés. — Misrata, ville martyre. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy escorté par des hommes armés dans les rues de Misrata déserte en Libye. — Dans les rues désertes de Misrata. ©Marc Roussel

Le drapeau français flotte au milieu des ruines de la ville de Misrata. Détail d'un immeuble brûlé, bombardé, qui a subi le feu des chars de Kadhafi. — Le drapeau français flotte au milieu des ruines de la ville de Misrata. ©Marc Roussel

Vue de Misrata, les immeubles sont détruits par le feu les balles et les bombes. Il reste quelques hommes armés dans la rue qui tentent de défendre ce qui reste encore debout. — L’horreur urbicide à Misrata. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy à la rencontre des Libyens à Misrata. BHL parle avec un homme, une femme et deux enfants. Derrière eux il y a des chars. — Bernard-Henri Lévy à la rencontre des Libyens à Misrata. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy sur le front de Goualich, il parle avec des soldats libyens. — Bernard-Henri Lévy sur le front de Goualich en juillet 2011. ©Marc Roussel

Portrait d'un jeune rebelle libyen, il porte un képi blanc et une mitraillette. — À Zintan, dans le Djebel Nefoussa, un jeune rebelle libyen. ©Marc Roussel

Les rebelles libyens à Benghazi en août 2011. La manifestation a lieu la nuit. On voit des drapeaux français parmi les drapeaux libyens. — Les rebelles libyens à Benghazi en août 2011. ©Marc Roussel

Les rebelles de Benghazi remercient avec une pancarte la France et son Président, Nicolas Sarkozy. — Les rebelles de Benghazi remercient la France et son Président, Nicolas Sarkozy. ©Marc Roussel

Les décombres de la ville de Tobrouk. On voit des débris, des murs noircis par le feu et des impacts de balles dans la pierre. — Les décombres de la ville de Tobrouk. ©Marc Roussel

Portraits des victimes du dictateur Kadhafi en Libye accrochés sur un mur — Les victimes du dictateur Kadhafi en Libye. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy est accoudé à l'arrière d'une jeep militaire qui transporte une mitrailleuse. — Bernard-Henri Lévy va entrer à Tripoli, capitale de la Libye. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy avec Nicolas Sarkozy et James Cameron à Tripoli. Ils sont accompagnés par toute une délégations de personnalités politiques. — Bernard-Henri Lévy aux côtés de Nicolas Sarkozy et James Cameron, lors de leur entrée à Tripoli en septembre 2011. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy accompagne Nicolas Sarkozy et James Cameron à l'hôpital de Tripoli, rendre visite aux victimes de la barbarie kadhafiste. Il y a également un médecin et le personnel des hommes politiques. Un hommes est allongé sur son lit d'hopital, un a un plâtre et du métal dans la jambe. — Bernard-Henri Lévy accompagne Nicolas Sarkozy et James Cameron à l’hôpital de Tripoli, rendre visite aux victimes de la barbarie kadhafiste. ©Marc Roussel

Sur le sable de Syrte en Libye, des cadavres couverts de plastiques blancs, et de mouches, au milieu de carcasses de voitures carbonisées. — Sur la plage de Syrte, à quelques kilomètres de Misrata, l’horreur du régime de Kadhafi. ©Marc Roussel

Vue de la ville de Syrte détruite et inondée. — Les eaux de Syrte en octobre 2011. ©Marc Roussel

Des enfants, une fille et un garçon, jouent dans une rue de Tripoli. — Les enfants de Tripoli en mars 2012, après la chute de Kadhafi. ©Marc Roussel

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