Europe, gilets jaunes, climat… : Bernard-Henri Lévy dresse le portrait sans concession de notre époque. Avec verve et théâtralité.
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
Guerre en Libye, Erdogan, souverainisme, gauche racialiste, Covid... Le philosophe, qui publie « Sur la route des hommes sans nom », défend son internationalisme.
Il serait logique, pour Barack Obama, d’aller au bout de l’exercice de sagesse qu’il s’est imposé et qu’il a imposé à son homologue français : aller à Saint-Pétersbourg, oui ; mais en bouleversant l’agenda de la réunion.
Il est inacceptable de renvoyer dos à dos les kamikazes et leurs victimes, et de laisser croire que cette nouvelle flambée de violence est spontanée.
De quoi les réactions politiques françaises, suite à la courageuse riposte de François Hollande après le massacre de Damas, sont-elles le nom ?
Dans les années 90, Bernard-Henri Lévy a dénoncé la barbarie intégriste du GIA en Algérie, à travers des reportages tel que « Le Jasmin et le sang ».
Le philosophe et grand reporter est victime d’abjects propos sur les réseaux sociaux, jusqu’à des menaces de mort émanant de milieux complotistes.
Le parti de Jaurès, de Blum et de Mitterrand s’est fondu dans un douteux mélange de fausse révolte, de poujadisme et d’islamo-gauchisme.
Pour empêcher le camp populiste d’accéder à l’Élysée, il faut, dès le premier tour, voter pour un second quinquennat d’Emmanuel Macron.
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