C’est un curieux événement qui nous mène au Portugal. Un préliminaire inattendu au voyage en Libye. La rencontre d’un mystérieux émissaire dans un Avenida Palace désert.
Puis, à l’évocation du passé, l’émotion qui noue la gorge de Lobo Antunes, le grand homme qu’on craint de voir succomber à ses livres.
Une interview pour L’Expresso, un débat d’intellectuels sur la pelouse de l’ambassade de France (José Gil, Nuno Nabais), le chant des Capitaines du 25 avril : c’est Lisbonne, 14 juillet 2020.
Après avoir témoigné, le 28 septembre 2019, de son admiration pour le poète portugais Antonio Lobo Antunes lors de sa remise, par le Président du Portugal, la Grand-Croix de l’Ordre de la Liberté, Bernard-Henri Lévy s’est rendu au domicile de l’écrivain à Lisbonne lors de l’été 2020.
Portrait de Lobo Antunes par Marc Roussel, poète portugais à propos duquel Bernard-Henri Lévy demandait qu’on lui accorde le Prix Nobel de Littérature Lobo Antunes fait le récit à Bernard-Henri Lévy de son expérience en tant que médecin sur le front.
Les deux hommes feuillettent un livre qui commémore la « Révolution des œillets ».
Le philosophe français considère Antonio Lobo Antunes comme « l’un des plus grands écrivains de notre époque, toutes langues confondues », et affirme « qu’il est peu d’écrivains vivants qu’il place si haut ». Il recommande aux lecteurs : « lisez-le en pensant qu’il est musicien, réfléchissez à son travail d’écriture et laissez de côté tous les préjugés ». (source des citations : Discours à la Fondation Gulbenkian de Lisbonne, par Bernard-Henri Lévy, en hommage à Antonio Lobo Antunes, le 28 septembre 2019).
Dans les jardins du fameux Palais de Santos, l’ambassade de France au Portugal, Bernard-Henri Lévy rencontre la Consule, Florence Mangin.
Débat animé entre Bernard-Henri Lévy et les philosophes portugais Nuno Nabais et José Gil autour du livre Ce Virus qui rend fou (Grasset).
Bernard-Henri Lévy pose pour la couverture de l’hebdomadaire portugais O Espresso.
Marc Roussel capture la pose qui ne lui était pas destinée pendant la séance photos.
Discussion autour du livre Ce virus qui rend fou (Grasset) avec l’éditorialiste portugais Pedro Mexia.