Après un an de chronique au « Matin », BHL s’adresse à ses lecteurs pour un bilan d’écriture : pour la première l’actualité s’absente.
Sur l’affaire du pardon aux officiers félons de la guerre d’Algérie : fallait-il réviser le procès de MM. Challe, Salan, Zeller et Jouhaud ?
Après la disparition de Mendès-France, BHL préfère célébrer un Mendès dont la vraie grandeur sera, jusqu’outre-tombe, la solitude.
Sur l’anti-intellectualisme bête, méchant et péremptoire de Régis Debray, récemment nommé conseiller culturel à l’Élysée.
Chevènement et la France profonde. Le gazoduc soviétique. Il faut nommer Israël ! Le malentendu Aragon et l’affaire Jünger.
Des sondages. Deux lignes au P.C. ? Encore l’affaire Tanase. Politique et éthique de François Mitterrand. L’interdiction d’« Hara-Kiri ».
Que deviennent les Polonais ? Disparus de la scène de l’actualité. Destitués de leur éminence médiatique. Renvoyés aux oubliettes.
Pour les Palestiniens, c’est-à-dire contre l’O.L.P : BHL parie sur un mouvement qui saura rendre honneur, dignité, à la nation palestinienne.
Mitterrand rue des Rosiers. L’unanimité ne vas pas durer... Defferre et le droit d’asile. L’étrange réaction de Begin. Censure syrienne.
Après l’attentat antisémite de la rue des Rosiers, BHL exprime, à la hâte, ses premières réactions à l’événement.
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