Afghanistan : Bernard-Henri Lévy envoyé spécial de la République

Photos par Marc Roussel

Les Américains ont délégué leurs meilleurs experts militaires, les Allemands des logisticiens, les Anglais des économistes, la France de Jacques Chirac et Lionel Jospin a préféré mandater un intellectuel. L’Afghanistan est à reconstruire. Chacun y va de sa pierre. Début 2002, BHL, envoyé spécial de la République, parcourt le pays pendant plus de deux mois, à la rencontre des chefs de guerre, des futurs dirigeants, des derniers Talibans qui officient au grand jour à Kandahar et d’un jeune écrivain afghan revenu au pays, Atiq Rahimi. Par cette geste, il proposera au Président un rapport sur la contribution de la France dont le journal Les Nouvelles de Kaboul est le premier édifice.

Bernard-Henri Lévy sur une route a Kaboul. Au premier plan il y a des Afghans avec des chèvres. Au fond, la ville, le Palais de Darulaman et les montagnes enneigées — À Kaboul, sur la route qui mène au Palais de Darulaman ©Marc Roussel

Dans une rue de Kaboul, le sol est boueux et les maisons sont détruites, probablement par les Talibans. Une femme afghane porte des seaux d'eau sur ses épaules. — Dans les rues de Kaboul. ©Marc Roussel

Un théâtre en ruines à Kaboul. — Un théâtre détruit à Kaboul. ©Marc Roussel

Dans une rue de Kaboul, les batiments sont presque en ruines. Il y a des enfants afghans dans la rue. — Dans les rues de Kaboul. ©Marc Roussel

Dans la maison d'une famille afghane, les enfants dorment ensemble par terre sur des coussins et des tapis/ — Auprès d’une famille afghane. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy marche dans les rues de Kaboul au milieu du peuple afghan. Les femmes portent des burquas — Bernard-Henri Lévy dans les rues de Kaboul. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy à l'ambassade France, à Kaboul. Bernard-Henri Lévy consulte des papiers près d'un bureau avec un ordinateur et un fax devant lequel est assis un homme. — Bernard-Henri Lévy à l’ambassade France, à Kaboul. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy et Atiq Rahimi, prennent la parole sur une scène devant une assemblée. — Bernard-Henri Lévy et Atiq Rahimi. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy écoute Abdul RAchid Dostom, à Kaboul. — Bernard-Henri Lévy et Abdul RAchid Dostom, seigneur de la guerre, à Kaboul. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy avec Ismail Khan, seigneur de la guerre, à Kaboul. ©Marc Roussel

Au Lycée Malalai de Kaboul. Les enfants sont assis, la classe se fait à l'extérieur, dans la cour, les bâtiments ont été détruits. La classe est mixte. — Au Lycée Malalai de Kaboul. ©Marc Roussel

A l'aéroport de Kandahar Bernard-Henri Lévy etGilles Hertzog sont assis par terre, il y a derrière eux les forces spéciales américaines. — A l’aéroport de Kandahar avec Gilles Hertzog et les forces spéciales américaines. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy marche dans un village, sur la route de Bamiyan, avec Gilles Hertzog (à droite) et Frédéric Tissot (à gauche), un médecin humanitaire qui a été temporairement chargé d'affaires à l'ambassade de France à Kaboul. Il y a des maisons en terre, un canon abandonné. — Dans un village, sur la route de Bamiyan, avec Gilles Hertzog (à droite) et Frédéric Tissot (à gauche), un médecin humanitaire qui a été temporairement chargé d’affaires à l’ambassade de France à Kaboul. ©Marc Roussel

Vue des grottes sacrées de Bamiyan. — Vue des grottes de Bamiyan. ©Marc Roussel

Sur le site historique et archéologique des Bouddhas de Bamiyan. Les bouddhas ont été détruits par les Talibans, les grottes sont vides. — Les bouddhas de Bamiyan ont été détruits par les Talibans. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy discute, assis par terre sur des coussins et des tapis, avec des hommes afghans de Kandahar — A Kandahar. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy parle avec des afghans dans une rue de Kandahar — Bernard-Henri Lévy dans une rue de Kandahar, bastion des Talibans. Le philosophe échange avec la population. ©Marc Roussel

Bernard-Henri Lévy parle avec Gul Agha Sherzai qui porte un uniforme militaire dans un bureau à Kandahar. — Bernard-Henri Lévy avec Gul Agha Sherzai à Kandahar. ©Marc Roussel

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