C’est un curieux événement qui nous mène au Portugal. Un préliminaire inattendu au voyage en Libye. La rencontre d’un mystérieux émissaire dans un Avenida Palace désert.
Puis, à l’évocation du passé, l’émotion qui noue la gorge de Lobo Antunes, le grand homme qu’on craint de voir succomber à ses livres.
Une interview pour O Espresso, un débat d’intellectuels sur la pelouse de l’ambassade de France (José Gil, Nuno Nabais), le chant des Capitaines du 25 avril : c’est Lisbonne, 14 juillet 2020.