En publiant « De la guerre en philosophie », Bernard-Henri Lévy défend son travail et son statut de penseur.
Michel Houellebecq et BHL : le tandem est bon. Il n’y a pas là le poète et l’idéologue, mais deux voix d’écrivains, à forces égales.
Pour le lancement aux États-Unis de son nouveau livre inédit « American Vertigo », Bernard-Henri Lévy bénéficie d’un marketing de choc.
Bernard-Henri Lévy va publier aux États-Unis, puis en France, un grand livre sur l’Amérique, sur les traces de Tocqueville : « American Vertigo ».
Le philosophe Bernard-Henri Lévy s’insurge contre la débandade américaine et défend des progrès spectaculaires dans la société afghane.
Le philosophe médiatique publie son journal des événements en Libye, dont il a été témoin et acteur, de l’Élysée à Benghazi. D’où vient le besoin d’être aux premières loges de l’histoire, sur la ligne de front ? Marc Lambron tente de cerner Bernard-Henri Lévy, franc-tireur dont l’engagement impétueux fait cause commune avec l’ambition littéraire.
Violences en Irak, en Syrie et en Libye, troubles en Ukraine, inaction de l’Europe, antisémitisme éclatant à Barbès... Bernard-Henri Lévy analyse les soubresauts d’un monde où se multiplient les conflits.
La publication de ses deux derniers livres devait couronner le penseur. Une fâcheuse erreur fait trébucher la star médiatique.
Mais où est donc passé Bernard-Henri Lévy ? « En voyage dans une Amérique que Tocqueville aurait peut-être devinée », titre le « New York Times ».
Face au triangle de mort qui se forme entre Syrie, Iran et Palestine, incendiaires dans l’affaire des caricatures, on doit opposer un triangle de raison.
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