Bernard-Henri Lévy a répondu sur les sujets les plus divers aux questions de Denis Tillinac. Un dialogue sans fard.
En 1971, BHL vient d’effectuer un voyage au Proche-Orient. Il livre ici ses réflexions sur le conflit entre nationalismes juifs et palestiniens.
La presse gauchiste est marquée par des « Révolutions » politiques, touchant au rôle de la parole et à la définition de la « Vérité populaire ». Une enquête de Bernard-Henri Lévy.
Un néofasciste nommé Jörg Haider devient un élément incontournable du paysage politique autrichien. BHL est parti enquêter à Vienne.
Avec « Le Diable en tête », Bernard-Henri Lévy aborde pour la première fois le roman, en prenant des risques.
Ses façons d’émeutier mâtinées de dandysme rendent BHL plus conforme à la chevalerie lettrée du XIXe siècle qu’au froid désenchantement du nôtre.
Le romancier Bernard-Henri Lévy ne mérite ni l’excès d’honneur des uns ni celui d’indignité des autres. Au total, un premier roman de type classique non dénué de qualités.
« Le Diable en tête » est un roman passionnant qui embrasse, à travers le portrait d’un terroriste, toute la légende, sombre, voluptueuse et cruelle, du siècle.
Le philosophe, qui soutient depuis dix ans la cause de l’Ukraine, où il a tourné trois reportage de guerre, explique pourquoi il a accepté d’être distingué par l’ambassadeur en France.
Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
Réseaux sociaux officiels