Le premier roman de BHL sera sans doute un best-seller parce qu’il est un page-turner, c’est aussi un grand livre.
« Le Diable en tête » est un roman passionnant qui embrasse, à travers le portrait d’un terroriste, toute la légende, sombre, voluptueuse et cruelle, du siècle.
Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.
BHL, qui vient de recevoir le prix Médicis, est l’une des figures du monde intellectuel qui suscitent les réactions les plus passionnées.
Le premier roman de BHL est une œuvre mature, à la fois légère et dense, et dont les personnages traversent des périodes de l’histoire.
Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
BHL est devenu la figure de l’intellectuel multifonctionnel, avec une continuité dans sa vision du monde, présentée dans son recueil « Récidives ».
Poursuivi par les biographes, BHL publie « Récidives ». Michel Audétat s’est plongé dans ce pavé et en est ressorti épaté par un écrivain qui court plus vite que son ombre.
BHL dit ici ce que l’opéra, dont le renouveau est aussi l’affaire de la nouvelle génération, éveille pour lui, comment il l’entend.
Quels sont les projets de BHL après son Prix Médicis ? Son roman va-t-il être adapté au cinéma ? L’écrivain-philosophe répond.
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