Quel serait mon plus grand malheur ?
L’absence de désir.
Où aimerais-je vivre ?
Paris, Naples, Jérusalem.
Mon rêve de bonheur.
Je ne comprends pas la question.
Les fautes que je ne peux pardonner.
L’apologie du crime.
Mon héros de bande dessinée préféré.
Comme le général de Gaulle, Tintin.
L’émission de télévision que je déteste le plus.
Je regarde peu la télévision.
Mes héroïnes préférées dans l’histoire de la littérature.
Les femmes de Stendhal.
Pourquoi lis-je des poèmes ?
Par goût de la métaphysique.
Quand est-ce que j’ai cherché mon propre nom, sur « Google », la dernière fois ?
Ce matin.
L’exposition d’art que j’ai visitée dernièrement.
Jacques Martinez, galerie Benamou, rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris.
Un compositeur dont je n’aime pas écouter la musique.
Je n’écoute jamais de musique.
La qualité que je préfère chez moi.
Mon endurance.
Un des péchés mortels que je trouve surestimé.
La luxure.
Mon occupation préférée.
Dépend des jours ; dépend des heures.
Le caractère littéraire avec lequel je peux m’identifier.
Dans Le Retour de la vieille dame de Friedrich Durrenmatt, le personnage de Monsieur Ills.
Ce que j’apprécie le plus chez mes amis.
Leur loyauté.
La chose dans laquelle j’ai le mieux réussi.
Mes livres.
Le rêve auquel j’ai renoncé.
Aucun.
La faute dont je me suis dernièrement excusé.
Une colère inutile.
Mon mot préféré.
Dépend des phrases ; dépend des livres.
Ce qui me rend nerveux.
La bêtise.
Les choses auxquelles je peux renoncer facilement.
Dormir.
Le roman de la littérature du monde que je n’ai pas fini.
La Conscience de Zeno.
Un roman que j’aurais aimé écrire/publier/inspirer.
Je suis heureux d’avoir inspiré – en partie – Ce que nous avons eu de meilleur de Jean-Paul Enthoven.
Suis-je un avocat ou un adversaire du nouveau « e-book » ?
Je ne sais pas encore.
Quelqu’un que j’aimerais bien revoir.
Ma mère.
Le don de la nature que je voudrais avoir.
L’immortalité.
Comment j’aimerais mourir.
Lentement, en pleine conscience.
Et après ?
On verra.
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