Il s'appelle Pascal Bacqué. Il publie chez Florent Massot « La Guerre de la terre et des hommes ». Une légende des siècles et de l'humain, rien de moins.
De Jean-Luc Mélenchon à Éric Drouet, le philosophe dessine une galerie de portraits des « agioteurs de la révolte » qui se veulent les « amis du peuple ».
À Dublin, où il poursuit sa campagne européenne avec sa pièce « Looking for Europe », le philosophe-acteur retrouve un vieil ami, le Tchadien Abakar…
Le philoposphe se souvient de celui qui fut son directeur de mémoire redouté à Normale sup. Loin, très loin de l'humaniste espiègle célébré aujourd'hui.
En cinq points, le philosophe énonce ce qu’on peut comprendre – et attendre – des manifestations de Hongkong contre le gouvernement local pro-Pékin.
À l'exemple de Jacques Chirac pour la Bosnie en 1995, le philosophe plaide pour la création d'un corps d'armée européen pour secourir les Kurdes de Syrie.
Le cinéaste de « Bosna ! » a vu le film que Guillaume de Fontenay consacre au reporter de guerre Paul Marchand – qu'il a croisé jadis dans Sarajevo assiégée.
Le philosophe voit dans le virus mondialisé la traduction en creux des passions tristes qui agitent nos démocraties fatiguées, relativistes et paranoïaques.
Rien n’a vraiment changé en deux mille cinq cents ans quant à la manière dont une société peut se prémunir contre un virus nouveau.
Il est temps de remettre la planète en mouvement. N’en déplaise aux devins de la deuxième vague, aux décroissants et aux procureurs du bilan carbone.
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