Rien d'humain n'est étranger au philosophe : Matzneff ou Greta Thunberg, la question de Dieu ou celle de la colère… requièrent autant son attention.
Alors que la haine prend le pas sur la contestation, le philosophe loue l'abnégation de nos dirigeants face à l'adversité.
A Riyad, le cinéaste engagé de « Peshmerga » plaide une nouvelle fois la cause des Kurdes. En faisant l’éloge de ce peuple sans Etat, tolérant et laïque.
Après le « meurtre symbolique » du candidat Benjamin Griveaux, le philosophe rappelle qu’il n’y a pas de société de libres sujets sans droit au secret.
Le philosophe voit dans le virus mondialisé la traduction en creux des passions tristes qui agitent nos démocraties fatiguées, relativistes et paranoïaques.
Nous voici revenus aux temps anciens, celui d’avant les antibiotiques, celui de la chasse à l’étranger, celui des camps d’enfermement.
Celui qui mena la rébellion contre le colonel Kadhafi s’était juré de parvenir à pacifier la Libye. Le Covid-19 l’a emporté le 5 avril, à 67 ans.
Le philosophe s'insurge contre tous les « profiteurs » politiques et religieux du virus et refuse de céder à leur prêchi-prêcha moralisateur.
Au temps du Covid-19, note le philosophe avec une ironie amère, nous restons aveugles et sourds aux péripéties cauchemardesques de l’Histoire en marche.
La Chine est à l’offensive. Mais, explique l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », sa volonté impériale n’a pas (encore) de légitimité à l’universel.
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