Pour l’auteur de « Qui a tué Daniel Pearl ? », la libération d’Omar Sheikh, cerveau présumé de l’assassinat du journaliste en 2002, est une ignominie.
Entre la nostalgie de la vie d’avant et l’espoir de la fin des turpitudes sanitaires, c’est un voile de tristesse qui enveloppe notre humaine condition.
Quand la ville de Paris honore le commandant Massoud, assassiné le 9 septembre 2001, en baptisant une allée à son nom, le philosophe se souvient de son ami.
BLOC NOTES. Revenant sur les propos de la ministre de l’Enseignement supérieur, le philosophe estime qu’il serait bon, notamment à l’université, d’ouvrir le débat.
Contre tous ceux qui oscillent entre la lâcheté et l’aveuglement, le philosophe exprime sa solidarité avec le professeur de Trappes menacé par les islamistes.
À ceux qui à gauche ou à droite seraient tentés de ne pas choisir en 2022 entre Mme Le Pen et M. Macron le philosophe rappelle le danger du jeu avec le feu.
Le philosophe rend hommage au grand éditeur de Grasset & Fasquelle ; le cocréateur de Justice for Kurds espère en Biden ; le citoyen refuse le confinement.
Le philosophe s’appuie sur Adorno, Sartre et Foucault pour dénoncer l’assignation identitaire issue de la « cancel culture » et des mouvements « woke ».
Le philosophe se souvient de ce prince des lettres au royaume de Grasset. Une légende de l’édition, qui publia, entre autres, Despentes, Eco, Garcia Marquez.
À l’initiative du philosophe, une allée du Commandant-Massoud, combattant afghan assassiné le 9 septembre 2001, a été inaugurée près des Champs-Élysées.
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