Le philosophe, qui s’insurge contre les « naufrageurs de la culture », énonce en cinq points pourquoi la culture ne saurait être une variable d’ajustement.
Notre chroniqueur-philosophe revient sur l’année 2020, qui a vu fleurir entre autres les mots « confinement » et « gestes barrières », et souhaite qu’en 2021 s’ouvre le chemin des possibles.
Malgré le Covid qui occupe l’actualité, notre chroniqueur nous rappelle combien notre monde ne s’est jamais si mal porté depuis la fin de la guerre froide.
Entre la nostalgie de la vie d’avant et l’espoir de la fin des turpitudes sanitaires, c’est un voile de tristesse qui enveloppe notre humaine condition.
À ceux qui à gauche ou à droite seraient tentés de ne pas choisir en 2022 entre Mme Le Pen et M. Macron le philosophe rappelle le danger du jeu avec le feu.
Le philosophe rend hommage au grand éditeur de Grasset & Fasquelle ; le cocréateur de Justice for Kurds espère en Biden ; le citoyen refuse le confinement.
Le premier tour des régionales, qui a vu la non-progression du RN, traduit pour le philosophe le bon sens républicain du peuple de France.
Le scepticisme vis-à-vis de la vaccination est le nouveau symptôme d’une société égoïste, fermée sur elle-même et vivant dans la peur.
A l’initiative du B’nai B’rith et de Babeth Zweibaum, le débat philosophique entre Bernard-Henri Lévy et André Comte-Sponville, “Leçons de...
Bernard-Henri Lévy s’essaie ici, en philosophe, à un bilan d’étape sur cette Première Peur mondiale, le coronavirus, qui a produit un réel plus invraisemblable que la fiction. Il redoute de voir les confits du confinement, drogués au virtuel et aux écrans, prendre goût au repli sur soi et dire, pour longtemps, adieu au monde.
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