Le philosophe le promet : s'il improvisera sur cette question le 6 janvier, lors du séminaire de « La Règle du jeu », il ne manquera pas d'y répondre…
Nous voici revenus aux temps anciens, celui d’avant les antibiotiques, celui de la chasse à l’étranger, celui des camps d’enfermement.
Rien n’a vraiment changé en deux mille cinq cents ans quant à la manière dont une société peut se prémunir contre un virus nouveau.
Le monde a effacé les pandémies destructrices de 1957 et 1968. Faut-il se réjouir ou s’inquiéter de l’État sanitaire que nous construisons aujourd’hui ?
Le philosophe s'insurge contre tous les « profiteurs » politiques et religieux du virus et refuse de céder à leur prêchi-prêcha moralisateur.
Parmi les conséquences « oubliées » du Covid-19, le philosophe note la recrudescence, dans de nombreux pays (y compris en France), du fléau de la faim.
Covid, confinement, Hulot, Onfray, Macron… Le philosophe, qui publie « Ce virus qui rend fou », dresse un état des lieux alarmant de la France.
Trois raisons (au moins) qui ont poussé le philosophe à écrire dans l'urgence son pamphlet sur la pandémie de Covid, « Ce virus qui rend fou ».
Un bloc-notes en forme de « name dropping » : Machiavel, Blanquer, Hölderlin, Malthus, Kaplan, Gibbon, Ovide, Hemingway, Milton, Godard, Valls, RBG, Rimbaud.
Le philosophe convoque Althusser, Heidegger, Platon, Foucault, Goethe et Martin Buber pour lire l'actualité, rendant hommage au passage à ses prédécesseurs.
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