Sur la bande de Gaza, avec le Hamas qui accentue ses tirs de roquettes, c'est une haine nue qui prévaut, sans mots ni enjeux négociables.
L'accord américano-russe sur le Syrie, la diplomatie d'Opinion, et le soulagement à l'idée de ne pas affronter Bachar, rappellent de détestables souvenirs.
Selon l'éditorialiste, le parti Poutine : c'est celui que l'on hésite à dire suicidaire, masochiste, animé par la haine de soi ou par le goût de la trahison.
Lorsque Donald Trump reçoit des survivants des persécutions religieuses – dont la Yézidie Nadia Murad –, l’indifférence le dispute à l’ignorance.
Le philosophe prévient : s'il a perdu son pari d'élections anticipées, le leader populiste pourrait revenir sur le devant de la scène politique italienne.
A Riyad, le cinéaste engagé de « Peshmerga » plaide une nouvelle fois la cause des Kurdes. En faisant l’éloge de ce peuple sans Etat, tolérant et laïque.
Celui qui mena la rébellion contre le colonel Kadhafi s’était juré de parvenir à pacifier la Libye. Le Covid-19 l’a emporté le 5 avril, à 67 ans.
La Chine est à l’offensive. Mais, explique l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », sa volonté impériale n’a pas (encore) de légitimité à l’universel.
De Condorcet à Levinas en passant par Samuel Pisar, réflexions sur l'école et le séparatisme, le Kurdistan et la Shoah, la police et la démocratie.
Le philosophe rappelle en cinq points pourquoi il fallait, en 2011, intervenir militairement en Libye pour chasser le dictateur Kadhafi.
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