C'est un débat douloureux et sensible qui traverse l'Allemagne : faut-il du passé faire table rase, tourner la page de la Shoah, au risque de l'oublier ?
En juin 1978, BHL s’est rendu à Buenos Aires, pour « Le Nouvel Observateur », au temps de la dictature de Jorge Videla. Utilisant le prétexte du « Mundial » de football – qu’il appel à boycotter – il enquête, malgré une arrestation policière, sur les dessous du régime autoritaire argentin : il écrit à cette occasion un reportage intitulé « Football et terreur en Argentine ».
Pour le philosophe, ne pas donner les moyens militaires nécessaires à Zelensky pour l’emporter sur la Russie revient à cautionner un inéluctable affaiblissement de nos démocraties.
Le philosophe salue l’action militaire d’Israël au Liban, qui met à genoux l’organisation terroriste Hezbollah et redonne espoir aux tenants du monde libre.
Un essai lyrique, pédagogue et prophétique qui montre comment combattre avec les mots face aux idéologies, ne pas transiger et s’en tenir à l’universalisme.
Le nouveau livre de l’intellectuel, « Solitude d’Israël », place l’État juif presque seul sur la scène mondiale, et son plaidoyer baigne dans un océan d’antisémitisme.
Bernard-Henri Lévy, en quatre films d’une heure et dans un livre, tente de percer le mystère de cette espèce éteinte : les clercs.
Le pogrom du 7 octobre 2023 a pour conséquence d’accentuer un peu plus cette « solitude d’Israël » redoutée par Lévy.
Le fil conducteur du dernier essai de BHL se trouve dans l’amour pour la complexité, l’éloge du double, du multiple.
Les massacres du 7 octobre ont inspiré à Bernard-Henri Lévy et Gérard Araud deux livres, deux réflexions profondes et complémentaires sur Israël, son peuple et son histoire. Le lyrisme du philosophe et le réalisme du haut diplomate se rejoignent dans un même idéal de justice.
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