Pour le philosophe, la réélection de Donald Trump pose trois grandes questions : la question de l’Europe, celle de la guerre en Ukraine, celle d’Israël.
À rebours de ses contemporains plus versatiles, Bernard-Henri Lévy se sera démarqué par sa constance. Un personnage public finalement peu connu que notre chroniqueur nous raconte.
Pokrovsk, capitale du calvaire ukrainien ; la mort au front d’Anton Azman, fils du rabbin de la synagogue centrale de Kiev ; une bonne nouvelle : la libération de héros d’Azovstal.
Le nouveau livre de l’intellectuel, « Solitude d’Israël », place l’État juif presque seul sur la scène mondiale, et son plaidoyer baigne dans un océan d’antisémitisme.
Descendant le fleuve de la pensée, Bernard-Henri Lévy a rencontré « l’intellectuel de demain » : lui-même.
« Mort à Sarajevo » de Danis Tanovic, librement adapté de la pièce de BHL, vient de recevoir le Grand prix du Jury et le Prix de la Critique internationale au Festival de Berlin.
Déjà maître d’œuvre, pour Téléimages, de « sitcoms » et d’un long-métrage, Simone Harari a produit le film de Bernard-Henri Lévy.
Il faut saluer le vote budgétaire américain en faveur de l’Ukraine, d’Israël et de Taïwan. Car c’est d’une nouvelle guerre mondiale qu’il s’agit : celle qui oppose les démocraties à l’Internationale illibérale.
« BHL », comme une marque, appâte néanmoins lecteurs et auditeurs. La preuve ? Précisément l’ampleur des réactions qu’il suscite.
Pourquoi BHL ne s’est-il pas contenté d’écrire des livres et des articles ? Pourquoi son engagement a-t-il dû passer par le cinéma ? Analyse d’une œuvre cinématographique composée de cinq films.
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