Après la mise en cause de BHL par Erdogan à propos de la chute du président Morsi, le philosophe met les choses au point.
D’un côté, le cynisme du Turc Erdogan. De l’autre, les lâchetés, le silence de l’Occident. Pris dans cet étau, les Kurdes vainqueurs de Daech.
Les Etats-Unis ont informé le commandement des Forces démocratiques syriennes (FDS), mouvement rebelle dominé par les Kurdes des Unités de...
Pour contenir la menace d’Erdogan, il faut, pour l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », agir sur trois leviers : l’Otan, le Qatar et l’Union européenne.
Le philosophe, qui a participé au printemps libyen en 2011, analyse la nouvelle situation politique en Syrie. Il plaide derechef pour la sanctuarisation du peuple kurde.
Pour le philosophe, ne pas donner les moyens militaires nécessaires à Zelensky pour l’emporter sur la Russie revient à cautionner un inéluctable affaiblissement de nos démocraties.
Honte, dit BHL, aux sportifs turcs qui saluent la soldatesque d’Erdogan ; un maillot n’est pas un uniforme.
Dans son dernier essai BHL explique en quoi le 7 octobre fut pour « Israël un moment de vertige », le signe d’une solitude.
Alors que des coalitions internationales s’étaient formées pour détruire Al-Qaeda puis Daesh, personne, regrette le philosophe, ne vient aider Israël à mener la guerre contre le Hamas.
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