Après la mise en cause de BHL par Erdogan à propos de la chute du président Morsi, le philosophe met les choses au point.
D’un côté, le cynisme du Turc Erdogan. De l’autre, les lâchetés, le silence de l’Occident. Pris dans cet étau, les Kurdes vainqueurs de Daech.
Les Etats-Unis ont informé le commandement des Forces démocratiques syriennes (FDS), mouvement rebelle dominé par les Kurdes des Unités de...
Pour contenir la menace d’Erdogan, il faut, pour l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », agir sur trois leviers : l’Otan, le Qatar et l’Union européenne.
À l’occasion du changement d’année, l’écrivain-philosophe formule ses vœux. Pour que ce monde soit un peu moins fou.
Pour l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », il faut que l’Occident se préoccupe de la géopolitique du président turc Erdogan. Notamment vis-à-vis du peuple kurde.
Le philosophe, qui a participé au printemps libyen en 2011, analyse la nouvelle situation politique en Syrie. Il plaide derechef pour la sanctuarisation du peuple kurde.
Pour le philosophe, ne pas donner les moyens militaires nécessaires à Zelensky pour l’emporter sur la Russie revient à cautionner un inéluctable affaiblissement de nos démocraties.
Honte, dit BHL, aux sportifs turcs qui saluent la soldatesque d’Erdogan ; un maillot n’est pas un uniforme.
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