Malgré le Covid qui occupe l’actualité, notre chroniqueur nous rappelle combien notre monde ne s’est jamais si mal porté depuis la fin de la guerre froide.
Quand la ville de Paris honore le commandant Massoud, assassiné le 9 septembre 2001, en baptisant une allée à son nom, le philosophe se souvient de son ami.
Le philosophe rend hommage au grand éditeur de Grasset & Fasquelle ; le cocréateur de Justice for Kurds espère en Biden ; le citoyen refuse le confinement.
Ce touriste français est emprisonné depuis quatre ans en Turquie. Isolé, humilié dans sa geôle, Fabien Azoulay vit un calvaire. Relayons son appel à l’aide.
Le Migrant n’a pas fini de nous hanter. Que faire ? Sauver les corps, retrouver le sens de l’hospitalité, inventer une redistribution mondiale plus juste.
Alors que les obus s’abattent sur Israël, il y a une ou deux questions qui fâchent à se poser sur le Hamas. Et quelques vérités à rappeler.
Le philosophe rappelle en cinq points pourquoi il fallait, en 2011, intervenir militairement en Libye pour chasser le dictateur Kadhafi.
Le retrait des troupes américaines d’Afghanistan signifie, pour le philosophe, le retour tragique d’Al-Qaïda, de Daech et des talibans.
Vingt ans après ses propositions sur la reconstruction de l’Afghanistan, libéré des talibans, le philosophe dit son profond accablement.
Après l’abandon du peuple afghan par les États-Unis, le seul espoir qui demeure a pour nom Ahmad Massoud, fils du commandant Massoud.
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