BHL, dans « Le Lys et la cendre », se trouve confronté à deux sujets liés : l’Europe, l’Histoire, et l’embourbement des intellectuels.
Depuis 1992, Bernard-Henri Lévy se bat pour la Bosnie et tient son journal de guerre, « Le Lys et la cendre ». Une ode aux combattants de Sarajevo, mais aussi un réquisitoire sévère contre les intellectuels parisiens et les hommes politiques français.
En 2007, 10 janvier au 3 février, le peintre Rafael Cidoncha présentait ses peintures de la Zahia de Marrakech, à la Galerie Marlborough de Madrid. Le philosophe a rédigé le texte de l’exposition « Naturalezas vivas ».
À la veille d’un scrutin crucial pour l’avenir de la France, le philosophe refuse l’alternative forcée RN ou LFI. Et appelle à une alliance de tous les démocrates contre les deux populismes.
« Les intellectuels français n’ont cessé de se tromper depuis le début du siècle », estime BHL dans son dernier essai « Les Aventures de la liberté ».
Quelle pensée survivra à ce « crépuscule des idoles » ? « Les droits de l’homme », veut croire Bernard-Henri Lévy.
Avec pour arbitre Bernard-Henri Lévy, une confrontation entre les penseurs d’aujourd’hui et les choix politiques ou moraux qu’ils ont accepté ou refusé de faire…
L’auteur de « L’Idéologie française » explique pourquoi le président a eu raison de dissoudre l’Assemblée nationale. Et appelle à sauver le « soldat République ».
Bernard-Henri Lévy, en quatre films d’une heure et dans un livre, tente de percer le mystère de cette espèce éteinte : les clercs.
Quand BHL évoque les intellectuels français, le ton est souvent décapant. Sur Antenne 2, sa série « Les Aventures de la liberté » a sans doute fait grincer des dents. Exactement comme le personnage de Bernard-Henri Lévy lui-même.
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