D’un côté, le cynisme du Turc Erdogan. De l’autre, les lâchetés, le silence de l’Occident. Pris dans cet étau, les Kurdes vainqueurs de Daech.
La démocratie compose avec le moindre mal dans l’espoir de conjurer le pire. Et le moindre mal aujourd’hui, c’est Macron ou Fillon.
Pourquoi, alors qu’il espérait lui aussi la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, l’écrivain n’arrive pas à se réjouir et s’inquiète.
Bernard-Henri Lévy a, lui aussi, été profondément touché par la cérémonie de samedi dernier et les adieux à notre étoile nationale.
L’avocat et écrivain François Sureau a, pendant la campagne présidentielle, été occasionnellement la plume de Fillon et proche de Macron. Et alors ?
Les dictateurs Abadi, Erdogan, el-Assad et Khamenei, menacent les Kurdes de représailles pour essayer de faire taire leur volonté d’indépendance.
Alors que Jean-Luc Mélenchon fait des amalgames historiques douteux et dangereux, les Kurdes se rendent aux urnes pour obtenir leur indépendance.
Dans les deux villes, un même modus operandi : une voiture-bélier lancée sur une foule. Mais c’est le seul point commun entre ces deux événements.
Trump à Charlottesville, la Corée du Nord et l’esprit de Munich, le « Maroc diplomatique ». Entre consternation pour les uns et hommage pour l’autre.
Face au drame qui se déroule au Venezuela, la passivité de la communauté internationale et les excuses des insoumis ne sont pas tolérables.
Réseaux sociaux officiels