Le texte de BHL traduit de nombreux malaises. Comment faire passer un message sans avoir l’air de se faire de la pub ?
La pensée a-t-elle sa place dans le théâtre médiatique ? Dans « Éloge des intellectuels », Bernard-Henri Lévy dit que oui. Mais il oublie que les médias ont aussi une histoire. La télévision change sous nos yeux. La sphère enchantée de ses stars a sa logique qui mérite peut-être d’être « pensée ».
Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.
Le dernier livre de BHL est une biographie intellectuelle à demi rêvée de l’auteur lui-même, à mi-chemin de la confession et du manifeste.
Bernard-Henri Lévy fait leur éloge et, dans un essai sur Aron et Sartre, Étienne Barilier se demande s’ils sont en train de disparaître.
L’auteur de l’« Éloge des intellectuels » n’a pas participé samedi à l’émission de Michel Polac consacré à la culture. Il explique pourquoi et répond à ses détracteurs.
BHL signe un texte de résistance courageux qui sonne juste et vrai, fidèle envers le peuple juif, son histoire et ses valeurs.
Dans « Solitude d’Israël », l’écrivain une radioscopie du 7 octobre. Il appelle les démocraties à aider le peuple juif à vaincre le Hamas.
BHL tiendra une conférence à Toulouse autour de « Solitude d’Israël », son dernier livre, écrit après le pogrom du 7 octobre. Interview.
Du siège de Sarajevo en 1992 au 7 Octobre en Israël, le philosophe fait le catalogue des mille et un manquements de l’ONU, acte son impotence et ses fourvoiements.
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