Le philosophe, qui a participé au printemps libyen en 2011, analyse la nouvelle situation politique en Syrie. Il plaide derechef pour la sanctuarisation du peuple kurde.
Le philosophe rappelle pourquoi l’accusation de « génocide » visant la guerre que mène Israël à Gaza n’a aucune pertinence, n’en déplaise au pape François.
Los Angeles, Claremont, Stanford, Harvard… Discussions sans relâche sur les campus pour désamorcer l’antisémitisme.
Un encart publicitaire de l’édition américaine de « Solitude d’Israël » a été cancellé. Le philosophe va contre-attaquer en plaidant la cause d’Israël dans les universités.
Il fallait la plume de Sébastien Lapaque pour recréer la rencontre, en 1942, entre le Juif viennois Zweig et le catholique français Bernanos, tous deux exilés au Brésil.
Pour le philosophe, ne pas donner les moyens militaires nécessaires à Zelensky pour l’emporter sur la Russie revient à cautionner un inéluctable affaiblissement de nos démocraties.
Tant que les morts seront diffamés, tant que les otages n’auront pas été libérés, tant qu’Israël sera menacé, la paix sera introuvable.
Le philosophe salue l’action militaire d’Israël au Liban, qui met à genoux l’organisation terroriste Hezbollah et redonne espoir aux tenants du monde libre.
Pokrovsk, capitale du calvaire ukrainien ; la mort au front d’Anton Azman, fils du rabbin de la synagogue centrale de Kiev ; une bonne nouvelle : la libération de héros d’Azovstal.
Du nettoyage ethnique en Bosnie ou au Rwanda aux exaction intégristes en Algérie en passant par le retour en force des nationalismes et par la formation, chez nous, de ghettos ethniques, l’ex-vedette des Nouveaux philosophes voit partout la même origine aux crises de notre époque : l’obsession de la pureté. C’est l’objet de son dernier essai. Dont la clairvoyance fait, pour une fois, l’unanimité.
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