BHL est insomniaque et « Nuit blanche » est la somme de ses méditations nocturnes. Refusant de fermer les yeux pour dormir, il déambule à travers son monde et ses souvenirs.
Le philosophe livre un court texte autobiographique sur ses insomnies, source d’angoisse et de réflexion.
Délaissant l’extime pour l’intime, le philosophe publie le très beau « Nuit blanche » chez Grasset, et apparaît pour ce qu’il est, aux antipodes de son image publique : celle d’un grand affectif.
L’écrivain publie « Nuit blanche », où il se livre sur sa maladie secrète, l’insomnie. Un monologue intérieur où il évoque son rapport au père, à la littérature et à l’extrême gauche. Il juge qu’aujourd’hui l’antisémitisme venant de ce camp est plus dangereux que celui d’extrême droite.
À rebours de ses contemporains plus versatiles, Bernard-Henri Lévy se sera démarqué par sa constance. Un personnage public finalement peu connu que notre chroniqueur nous raconte.
Il n’y a pas de question juive puisqu’être juif est une réponse, ou un appel, ou une affirmation.
Pourquoi « Solitude d’Israël », cette magnifique leçon d’histoire et d’émotion de BHL, remporte un très large succès.
La commémoration de Yom Hazikaron est l’occasion pour le philosophe de rappeler, à Tel-Aviv, que l’essence la plus précieuse d’Israël réside en chacun de ses otages actuellement détenus par le Hamas.
La commémoration de Yom Hazikaron est l’occasion pour le philosophe de rappeler que l’essence la plus précieuse d’Israël réside en chacun de ses otages actuellement détenus par le Hamas.
Dans son dernier essai BHL explique en quoi le 7 octobre fut pour « Israël un moment de vertige », le signe d’une solitude.
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