Fantômes de la guerre, visages des amis disparus, « opium livresque »… Le philosophe ouvre la boîte noire de ses nuits blanches. Fascinant.
Guillaume Erner reçoit le philosophe et écrivain BHL qui publie « Nuit blanche » aux éditions Grasset, un ouvrage qui nous plonge dans les insomnies de l’auteur, entre les souvenirs et les combats de sa vie.
Qu’est-ce que le cinéma ? que nous apporte-t-il ? Le philosophe a vu le nouveau film d’Arnaud Desplechin, « Spectateurs ! ».
Le Président ukrainien, Petro Porochenko, a rencontré le philosophe et écrivain français, Bernard-Henri Lévy.
Dans « Nuit blanche », un récit personnel qui paraît le 8 janvier chez Grasset, le philosophe et écrivain évoque ses échanges sur Telegram avec un autre illustre insomniaque : le président de la République.
Voilà belle lurette que le philosophe ne dort plus. Est-ce pour éviter la mort, pour tromper l’ennui ou pour signifier au monde que son cerveau est en constante ébullition ?
Dans un récit intime, l’écrivain-philosophe enquête sur ses insomnies. Et se dévoile comme jamais. Nous l’avons rencontré.
À l’occasion du changement d’année, l’écrivain-philosophe formule ses vœux. Pour que ce monde soit un peu moins fou.
À rebours de ses contemporains plus versatiles, Bernard-Henri Lévy se sera démarqué par sa constance. Un personnage public finalement peu connu que notre chroniqueur nous raconte.
Le philosophe, qui a participé au printemps libyen en 2011, analyse la nouvelle situation politique en Syrie. Il plaide derechef pour la sanctuarisation du peuple kurde.
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