L'armée française gagne, au Mali, une guerre exemplaire. Mais pourquoi cette guerre n'intéresse-t-elle personne ?
Pour que le Burundi ne soit pas un autre Rwanda, le philosophe et éditorialiste du « Point » prend la plume.
À l'occasion d'une rétrospective de son œuvre très littéraire et philosophique, à la Galerie T&L, hommage à un peintre de la Figuration narrative.
Comment l’écrivait si bien Romain Gary, « le nationalisme, c’est la haine d’autrui ; le patriotisme, c’est l’amour de soi et des siens ».
Si on ignore, pour l'heure, ce qui s'est réellement dans la chambre du Sofitel de New York, la portée politique de l'événement interroge.
Pour l'écrivain, le populisme, chose bouffie, nationaliste et anti-élites, prélude à la haine et à l'exclusion, est la maladie des démocraties en panique.
La présidence de Donald Trump à l'aune du « Père Ubu » d'Alfred Jarry qui, il y a plus d'un siècle, a fixé les canons du grotesque en politique.
Sans spéculer, sans faire d'hypothèses hasardeuses, le philosophe tire de ce qui s'est passé les premières leçons.
La France a voté en masse. Et elle s'est rassemblée pour dire qu'elle ne voulait pas voir le gang des Le Pen faire main basse sur nos régions.
Le philosophe a réécrit sa pièce de théâtre « Hôtel Europe » après le Brexit. Et il la joue lui-même, seul sur la mythique scène du Cadogan Hall, à Londres.
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