Le philosophe a lu « Les Profanateurs », le Journal de Jacques Henric des années 1971-2015. Tout une époque défile, de « Tel quel » et « Art Press » à la Fête de l’Huma.
Chéreau et BHL produisent devant nos consciences le spectacle du « Mal », de cet enragement des hommes à s’entretuer.
Contre la barbarie à l’œuvre dans l’ex-Yougoslavie, un film événement de Bernard-Henri Lévy. Bouleversant.
Ce que l’auteur de « L’Espoir » avait trouvé dans la guerre d’Espagne, Bernard-Henri Lévy l’a découvert dans la tragédie bosniaque. Et son film, même avec ses outrances, est un réquisitoire implacable contre la non-intervention.
Pour conjurer le désastre des Balkans, pour prouver que la Bosnie peut gagner, et pour qu’il ne soit pas dit que l’Europe est morte à Sarajevo où à Gorazde, Bernard-Henri Lévy a réalisé un film choc et militant.
Au cœur du conflit ukrainien, BHL a reçu une distinction de la part du Commandant en chef des Forces armées ukrainiennes, Oleksandr Syrsky, en reconnaissance de ses « services rendus à l’armée ».
Le film engagé de BHL est utile et nécessaire. Il donne à voir la réalité d’une ligne de front ou les Kurdes se battent contre Daech.
Avant la présentation en avant-première de « Peshmerga » en Israël, Bernard-Henri Lévy a accordé un entretien exclusif au « Jerusalem Post ».
BHL évoque le tournage de « Peshmerga », projeté à Cannes. Et explique pourquoi les Occidentaux devraient s'engager davantage auprès des Kurdes.
En sacrant Ken Loach et en accueillant Bernard-Henri Lévy, le Festival de Cannes s'attire toutes les critiques. Et pourtant, ces deux événements sont le signe que Cannes a renoué avec sa conscience de gauche originelle.
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