BHL, dans « Le Lys et la cendre », s’interroge : face aux guerres qui se sont déchaînées en Bosnie, quel est le rôle de l’intellectuel ?
Depuis 1992, Bernard-Henri Lévy se bat pour la Bosnie et tient son journal de guerre, « Le Lys et la cendre ». Une ode aux combattants de Sarajevo, mais aussi un réquisitoire sévère contre les intellectuels parisiens et les hommes politiques français.
Lévy a compris que l’écrivain ne transforme plus le monde par son art ; il doit, s’il veut trouver un écho, être sur la place publique, dans les assemblées, monter au créneau des grandes causes.
À la veille d’un scrutin crucial pour l’avenir de la France, le philosophe refuse l’alternative forcée RN ou LFI. Et appelle à une alliance de tous les démocrates contre les deux populismes.
Quelle pensée survivra à ce « crépuscule des idoles » ? « Les droits de l’homme », veut croire Bernard-Henri Lévy.
Avec pour arbitre Bernard-Henri Lévy, une confrontation entre les penseurs d’aujourd’hui et les choix politiques ou moraux qu’ils ont accepté ou refusé de faire…
Bologne. Finalement, tout s'est bien passé. Aucun affrontement avec les forces de l'ordre n'a entaché le « colloque sur la répression », réuni à Bologne du 23 au 25 septembre.
Jamais l’engagement des intellectuels français n’a été aussi passionné qu’entre les deux guerres. Mais est-il mort aujourd’hui ? La guerre du Golfe prouve que non.
Retraçant l’histoire des intellectuels français, Lévy fait clairement état de ses propres opinions. Cela tient à la méthode d’investigation choisie.
L’auteur de « L’Idéologie française » explique pourquoi le président a eu raison de dissoudre l’Assemblée nationale. Et appelle à sauver le « soldat République ».
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