Lorsque j'avais évoqué, il y a quelques années, un précédent livre de Maxence Caron, j'avais été surpris par la violence des réactions. Les uns me mettaient en garde contre un faux-monnayeur gidien usant d'un impossible jargon pour couvrir le vide de sa pensée. Les autres, contre un paranoïaque prétendant refonder, avec la complicité des Belles-Lettres, rien de moins qu'un « système nouveau de la philosophie et de son histoire passée, présente et à venir ». Et d'autres, contre un catholique fanatique dont les imprécations contre l'« outre-modernité » reprenaient, tantôt en les radicalisant, tantôt en ayant le culot de les retourner, les thèses de Philippe Muray. Cet homme, je le précise, était inconnu du grand public. Il avait publié des recueils de poèmes qui…


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