30 écrivains signent un manifeste des patriotes européens. Prétexte pour le philosophe de (re)faire l’éloge de l’Europe. Celle de Diderot, Dickens, Kafka…
Alors qu’il entame à Milan une tournée théâtrale européenne, le philosophe revient sur cette Italie gouvernée par l’attelage populiste Salvini-Di Maio.
Pour Bernard-Henri Lévy, "il n'y a pas de meilleur choix que d'aider les Kurdes à nous aider à vaincre la barbarie sans pareille des coupeurs de tête de l'EI".
Bernard-Henri Lévy regarde l'esprit de l'Europe se déliter peu à peu, notamment en raison de la crise des migrants. Mais il reste peut-être un espoir.
Un vent mauvais, plein de haines rances, souffle sur la France. Ne faudrait-il pas, pour y faire face, réinventer le mot de « fraternité » ?
Escale à Berlin, où le philosophe poursuit la tournée européenne de sa pièce de théâtre « Looking for Europe », dont il est à la fois l’auteur et l’acteur.
Le philosophe voit dans le virus mondialisé la traduction en creux des passions tristes qui agitent nos démocraties fatiguées, relativistes et paranoïaques.
Rien n’a vraiment changé en deux mille cinq cents ans quant à la manière dont une société peut se prémunir contre un virus nouveau.
Un jeune réalisateur, Camille Lotteau, a adapté au cinéma la pièce « Looking for Europe », que BHL a écrite et jouée dans 22 villes européennes en 2019.
À Venise pour la projection du film « Princesse Europe », le philosophe n’en oublie pas l’empoisonnement du Russe Navalny ni la situation en Biélorussie.
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