Après le « meurtre symbolique » du candidat Benjamin Griveaux, le philosophe rappelle qu’il n’y a pas de société de libres sujets sans droit au secret.
Le philosophe voit dans le virus mondialisé la traduction en creux des passions tristes qui agitent nos démocraties fatiguées, relativistes et paranoïaques.
Nous voici revenus aux temps anciens, celui d’avant les antibiotiques, celui de la chasse à l’étranger, celui des camps d’enfermement.
Et si ce confinement forcé, édicté par nos valeureux hussards blancs, se poursuivait au nom d'un hygiénisme égoïste, comme le craignait Michel Foucault ?
Le philosophe s'insurge contre tous les « profiteurs » politiques et religieux du virus et refuse de céder à leur prêchi-prêcha moralisateur.
Au temps du Covid-19, note le philosophe avec une ironie amère, nous restons aveugles et sourds aux péripéties cauchemardesques de l’Histoire en marche.
La Chine est à l’offensive. Mais, explique l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », sa volonté impériale n’a pas (encore) de légitimité à l’universel.
Pour le philosophe, les 63 plaintes visant des ministres et hauts fonctionnaires pourraient in fine mettre en danger les fondements de la République.
Il est temps de remettre la planète en mouvement. N’en déplaise aux devins de la deuxième vague, aux décroissants et aux procureurs du bilan carbone.
Covid, confinement, Hulot, Onfray, Macron… Le philosophe, qui publie « Ce virus qui rend fou », dresse un état des lieux alarmant de la France.
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