L’auteur de « L’empire et les cinq rois » et du film « Peshmerga » revient sur l’intervention turque et l’abandon des Kurdes de Syrie par l’Occident.
À l'exemple de Jacques Chirac pour la Bosnie en 1995, le philosophe plaide pour la création d'un corps d'armée européen pour secourir les Kurdes de Syrie.
A Riyad, le cinéaste engagé de « Peshmerga » plaide une nouvelle fois la cause des Kurdes. En faisant l’éloge de ce peuple sans Etat, tolérant et laïque.
Il faut s’inquiéter de l’activisme russe dans la campagne électorale, affirme le philosophe – qui participait, à Yale, à un symposium sur la question kurde.
Le philosophe voit dans le virus mondialisé la traduction en creux des passions tristes qui agitent nos démocraties fatiguées, relativistes et paranoïaques.
Au temps du Covid-19, note le philosophe avec une ironie amère, nous restons aveugles et sourds aux péripéties cauchemardesques de l’Histoire en marche.
Il est temps de remettre la planète en mouvement. N’en déplaise aux devins de la deuxième vague, aux décroissants et aux procureurs du bilan carbone.
Trois raisons (au moins) qui ont poussé le philosophe à écrire dans l'urgence son pamphlet sur la pandémie de Covid, « Ce virus qui rend fou ».
Covid, confinement, Hulot, Onfray, Macron… Le philosophe, qui publie « Ce virus qui rend fou », dresse un état des lieux alarmant de la France.
En ces temps sanitaires de distanciation sociale, le philosophe rappelle que la poignée de main est un indice de civilité, sinon de civilisation.
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