Le philosophe Bernard-Henri Lévy publie un ouvrage qui fait le point sur ses années d’engagement pour la Bosnie.
Le philosophe, auteur de « L’Idéologie française », explique pourquoi il ne peut pas voter pour le Nouveau Front populaire, au sein duquel le parti antisémite LFI est en position dominante.
Quatre ans d’une histoire d’amour et de lutte pour la cause bosniaque. Quatre ans de rage pour secouer opinions publiques et princes indifférents. Quatre années pour réveiller le monde.
Pour la Bosnie, Bernard-Henri Lévy a bataillé sur tous les fronts possibles. « Le Lys et la cendre » rassemble les notes prises entre 1992 et 1995 sur ce combat. Tout y est, la guerre et la comédie de Paris. Avec, en filigrane, un passionnant autoportrait.
BHL, dans « Le Lys et la cendre », s’interroge : face aux guerres qui se sont déchaînées en Bosnie, quel est le rôle de l’intellectuel ?
BHL, dans « Le Lys et la cendre », se trouve confronté à deux sujets liés : l’Europe, l’Histoire, et l’embourbement des intellectuels.
Depuis 1992, Bernard-Henri Lévy se bat pour la Bosnie et tient son journal de guerre, « Le Lys et la cendre ». Une ode aux combattants de Sarajevo, mais aussi un réquisitoire sévère contre les intellectuels parisiens et les hommes politiques français.
Lévy a compris que l’écrivain ne transforme plus le monde par son art ; il doit, s’il veut trouver un écho, être sur la place publique, dans les assemblées, monter au créneau des grandes causes.
En 2007, 10 janvier au 3 février, le peintre Rafael Cidoncha présentait ses peintures de la Zahia de Marrakech, à la Galerie Marlborough de Madrid. Le philosophe a rédigé le texte de l’exposition « Naturalezas vivas ».
Dans le no6 de la revue « Ingérences », publiée par Médecins du Monde, BHL livre sa vision de l’action humanitaire. Il explique son concept de « philosophie de l’inhumain », et analyse les effets pervers de l’aventure humanitaire.
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