Le philosophe s’interroge sur ce qui fait le prix de la paix – sa beauté et sa rareté – alors que les maîtres du monde se jouent de ce bien inestimable.
La Chine est à l’offensive. Mais, explique l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », sa volonté impériale n’a pas (encore) de légitimité à l’universel.
Le confinement nous aurait-il anesthésiés au point d'ignorer la mort d'un médecin sur la ligne de front, en violation des lois de la guerre ?
Pourquoi l'accord « prosaïque » entre Abou Dhabi et Jérusalem est symboliquement aussi important que le traité de paix entre l'Égypte et Israël en 1979.
Le philosophe convoque Althusser, Heidegger, Platon, Foucault, Goethe et Martin Buber pour lire l'actualité, rendant hommage au passage à ses prédécesseurs.
Dans le conflit actuel du Haut-Karabakh, se ranger aux côtés de l’Arménie est, pour le philosophe, un impératif métaphysique, moral et politique.
Notre chroniqueur-philosophe revient sur l’année 2020, qui a vu fleurir entre autres les mots « confinement » et « gestes barrières », et souhaite qu’en 2021 s’ouvre le chemin des possibles.
À ceux qui à gauche ou à droite seraient tentés de ne pas choisir en 2022 entre Mme Le Pen et M. Macron le philosophe rappelle le danger du jeu avec le feu.
Le retrait des troupes américaines d’Afghanistan signifie, pour le philosophe, le retour tragique d’Al-Qaïda, de Daech et des talibans.
Si l’abstention est le symptôme d’une désaffection, elle ne doit pas masquer les autres questions qui pourraient mettre en péril la démocratie.
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