Alors qu'une rétrospective de ses quatre documentaires de guerre est projetée aux États-Unis, le philosophe-reporter rend ici hommage à son père, André.
Le Brexit est une défaite pour le Royaume-Uni comme pour l'Union européenne. Mais tout espoir n'est pas perdu de retrouver le vrai goût de l'Europe.
Il faut s’inquiéter de l’activisme russe dans la campagne électorale, affirme le philosophe – qui participait, à Yale, à un symposium sur la question kurde.
Le monde a effacé les pandémies destructrices de 1957 et 1968. Faut-il se réjouir ou s’inquiéter de l’État sanitaire que nous construisons aujourd’hui ?
Parmi les conséquences « oubliées » du Covid-19, le philosophe note la recrudescence, dans de nombreux pays (y compris en France), du fléau de la faim.
Au temps du Covid-19, note le philosophe avec une ironie amère, nous restons aveugles et sourds aux péripéties cauchemardesques de l’Histoire en marche.
Il est temps de remettre la planète en mouvement. N’en déplaise aux devins de la deuxième vague, aux décroissants et aux procureurs du bilan carbone.
Covid, confinement, Hulot, Onfray, Macron… Le philosophe, qui publie « Ce virus qui rend fou », dresse un état des lieux alarmant de la France.
En ces temps sanitaires de distanciation sociale, le philosophe rappelle que la poignée de main est un indice de civilité, sinon de civilisation.
Pour contenir la menace d’Erdogan, il faut, pour l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », agir sur trois leviers : l’Otan, le Qatar et l’Union européenne.
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