Malgré le Covid qui occupe l’actualité, notre chroniqueur nous rappelle combien notre monde ne s’est jamais si mal porté depuis la fin de la guerre froide.
Pour contrer ceux qui, à l’instar des émeutiers de Washington, veulent humilier la démocratie, il faut défendre fermement les institutions américaines.
Des nouvelles de Tocqueville ? Il faut écouter Mathieu Laine. Navalny et les tarentules. Une grande dame nommée Marielle de Sarnez. Minuit à Kaboul.
Entre la nostalgie de la vie d’avant et l’espoir de la fin des turpitudes sanitaires, c’est un voile de tristesse qui enveloppe notre humaine condition.
Alors que les obus s’abattent sur Israël, il y a une ou deux questions qui fâchent à se poser sur le Hamas. Et quelques vérités à rappeler.
Le philosophe rappelle en cinq points pourquoi il fallait, en 2011, intervenir militairement en Libye pour chasser le dictateur Kadhafi.
Le premier tour des régionales, qui a vu la non-progression du RN, traduit pour le philosophe le bon sens républicain du peuple de France.
Vingt ans après ses propositions sur la reconstruction de l’Afghanistan, libéré des talibans, le philosophe dit son profond accablement.
Après l’abandon du peuple afghan par les États-Unis, le seul espoir qui demeure a pour nom Ahmad Massoud, fils du commandant Massoud.
Avec le désastre afghan, c’est l’image même des démocraties libérales qui, à travers la plus grande d’entre elles, semble partout ternie.
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