L’auteur de « L’empire et les cinq rois » et du film « Peshmerga » revient sur l’intervention turque et l’abandon des Kurdes de Syrie par l’Occident.
L'auteur du film « Peshmerga » plaide une nouvelle fois pour l'honneur des Kurdes, qui en Syrie ont aidé à la localisation du chef de l'État islamique.
À l'exemple de Jacques Chirac pour la Bosnie en 1995, le philosophe plaide pour la création d'un corps d'armée européen pour secourir les Kurdes de Syrie.
A Riyad, le cinéaste engagé de « Peshmerga » plaide une nouvelle fois la cause des Kurdes. En faisant l’éloge de ce peuple sans Etat, tolérant et laïque.
Le monde a effacé les pandémies destructrices de 1957 et 1968. Faut-il se réjouir ou s’inquiéter de l’État sanitaire que nous construisons aujourd’hui ?
Au temps du Covid-19, note le philosophe avec une ironie amère, nous restons aveugles et sourds aux péripéties cauchemardesques de l’Histoire en marche.
En ces temps sanitaires de distanciation sociale, le philosophe rappelle que la poignée de main est un indice de civilité, sinon de civilisation.
Pourquoi l'accord « prosaïque » entre Abou Dhabi et Jérusalem est symboliquement aussi important que le traité de paix entre l'Égypte et Israël en 1979.
Pour contenir la menace d’Erdogan, il faut, pour l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », agir sur trois leviers : l’Otan, le Qatar et l’Union européenne.
Malgré le Covid qui occupe l’actualité, notre chroniqueur nous rappelle combien notre monde ne s’est jamais si mal porté depuis la fin de la guerre froide.
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