Le philosophe voit dans le virus mondialisé la traduction en creux des passions tristes qui agitent nos démocraties fatiguées, relativistes et paranoïaques.
Nous voici revenus aux temps anciens, celui d’avant les antibiotiques, celui de la chasse à l’étranger, celui des camps d’enfermement.
Rien n’a vraiment changé en deux mille cinq cents ans quant à la manière dont une société peut se prémunir contre un virus nouveau.
Parmi les conséquences « oubliées » du Covid-19, le philosophe note la recrudescence, dans de nombreux pays (y compris en France), du fléau de la faim.
Trois raisons (au moins) qui ont poussé le philosophe à écrire dans l'urgence son pamphlet sur la pandémie de Covid, « Ce virus qui rend fou ».
Entre la nostalgie de la vie d’avant et l’espoir de la fin des turpitudes sanitaires, c’est un voile de tristesse qui enveloppe notre humaine condition.
Le scepticisme vis-à-vis de la vaccination est le nouveau symptôme d’une société égoïste, fermée sur elle-même et vivant dans la peur.
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