Au temps du Covid-19, note le philosophe avec une ironie amère, nous restons aveugles et sourds aux péripéties cauchemardesques de l’Histoire en marche.
Le confinement nous aurait-il anesthésiés au point d'ignorer la mort d'un médecin sur la ligne de front, en violation des lois de la guerre ?
Comment la visite du président s'inscrit dans l'histoire du lien privilégié qui unit la France au Liban – où « ingérence » est le synonyme de « fraternité ».
Face aux événements de Biélorussie, l’Europe doit prendre ses responsabilités : choisir entre une « révolution de velours » et un bain de sang.
Pourquoi l'accord « prosaïque » entre Abou Dhabi et Jérusalem est symboliquement aussi important que le traité de paix entre l'Égypte et Israël en 1979.
Pour contenir la menace d’Erdogan, il faut, pour l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », agir sur trois leviers : l’Otan, le Qatar et l’Union européenne.
Dans le conflit actuel du Haut-Karabakh, se ranger aux côtés de l’Arménie est, pour le philosophe, un impératif métaphysique, moral et politique.
Malgré le Covid qui occupe l’actualité, notre chroniqueur nous rappelle combien notre monde ne s’est jamais si mal porté depuis la fin de la guerre froide.
Quand la ville de Paris honore le commandant Massoud, assassiné le 9 septembre 2001, en baptisant une allée à son nom, le philosophe se souvient de son ami.
Le Migrant n’a pas fini de nous hanter. Que faire ? Sauver les corps, retrouver le sens de l’hospitalité, inventer une redistribution mondiale plus juste.
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