Depuis les années 70, les intellectuels sont-ils morts ? Non, non, dit Bernard-Henri Lévy. Ce n’est qu’une éclipse.
Étayée par une solide recherche historique, la reconstitution de l’agonie du poète par BHL se veut surtout une réflexion sur le mystère de la création.
Avec « Les Derniers jours de Charles Baudelaire » Bernard-Henri Lévy n’a utilisé que des moyens de romancier. C’est sa ruse.
BHL publie deux livres. Dans l’un il répond à la question « Comment je philosophe ? ». Dans l’autre il met en pratique sa profession de foi.
« BHL », comme une marque, appâte néanmoins lecteurs et auditeurs. La preuve ? Précisément l’ampleur des réactions qu’il suscite.
Jean-François Kahn : « Je ne crois pas qu’il faille s’interdire d’entendre BHL. L’exécration ne doit jamais faire boule Quiès. »
BHL publie simultanément deux livres qui dévoilent ses ressorts, ses principes et ses marottes philosophiques. L’occasion de se pencher sur l’étudiant qu’il était, comme l’attestent ses camarades, qui témoignent pour la première fois.
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
Une exposition événement à la Fondation Maeght et un livre : Bernard-Henri Lévy questionne les rapports entre artistes et penseurs.
Invité hier de « On n’est pas couché », BHL a illuminé le plateau de Laurent Ruquier en élevant le débat et en offrant de la couleur à une période bien terne.
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