Celui qui mena la rébellion contre le colonel Kadhafi s’était juré de parvenir à pacifier la Libye. Le Covid-19 l’a emporté le 5 avril, à 67 ans.
Le philosophe s'insurge contre tous les « profiteurs » politiques et religieux du virus et refuse de céder à leur prêchi-prêcha moralisateur.
Parmi les conséquences « oubliées » du Covid-19, le philosophe note la recrudescence, dans de nombreux pays (y compris en France), du fléau de la faim.
La Chine est à l’offensive. Mais, explique l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », sa volonté impériale n’a pas (encore) de légitimité à l’universel.
Il est temps de remettre la planète en mouvement. N’en déplaise aux devins de la deuxième vague, aux décroissants et aux procureurs du bilan carbone.
Trois raisons (au moins) qui ont poussé le philosophe à écrire dans l'urgence son pamphlet sur la pandémie de Covid, « Ce virus qui rend fou ».
Covid, confinement, Hulot, Onfray, Macron… Le philosophe, qui publie « Ce virus qui rend fou », dresse un état des lieux alarmant de la France.
En ces temps sanitaires de distanciation sociale, le philosophe rappelle que la poignée de main est un indice de civilité, sinon de civilisation.
Neuf ans après la chute de Kadhafi, notre éditorialiste est retourné en Libye pour témoigner, guidé par sa seule conscience.
Pourquoi l'accord « prosaïque » entre Abou Dhabi et Jérusalem est symboliquement aussi important que le traité de paix entre l'Égypte et Israël en 1979.
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