Dans « L’Empire et les Cinq Rois », le philosophe s’en prend à un Occident qui a renoncé à ses valeurs face à cinq pays décidés à prendre leur revanche.
Sur la Syrie, la Libye, Hollande et Sarkozy, le droit d’ingérence mais aussi son « narcissisme » supposé, ses rapports au cinéma et Marine Le Pen qui le poursuit en justice pour diffamation, Bernard-Henri Lévy s’explique.
Avec son nouveau livre, « L’Empire et les cinq rois », Bernard-Henri Lévy récidive dans la défense d’un Occident fier de ses valeurs.
Le philosophe Bernard-Henri Lévy s’insurge contre la débandade américaine et défend des progrès spectaculaires dans la société afghane.
Tout ou presque oppose Bernard-Henri Lévy et Renaud Girard, sauf la conviction inquiète d’une crise frappant les États-Unis et la vieille Europe.
À trois semaines à peine de son voyage de charme à l’Ouest, Leonid Brejnev a froidement résolu de briser le rêve, l’espoir de la Pologne.
Cette guerre d'initiative française, où l'on arrête une autre guerre, contre les civils, est le contraire d’une expédition coloniale.
Le philosophe évoque son dernier livre mais aussi l’actualité : l’attentat islamiste à Moscou et les accusations absurdes de Poutine contre l’Ukraine, mais aussi la défense israélienne contre le Hamas après le 7 octobre et le bras de fer qui oppose Netanyahou et Biden.
Il faut saluer le vote budgétaire américain en faveur de l’Ukraine, d’Israël et de Taïwan. Car c’est d’une nouvelle guerre mondiale qu’il s’agit : celle qui oppose les démocraties à l’Internationale illibérale.
François Heilbronn est professeur associé à Sciences Po. Pour le « JDD », il revient sur l’ouvrage de Bernard-Henri Lévy, « Solitude d’Israël », et livre une chronique riche en histoire et en émotions.
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