Comment un intellectuel, racontant la tragédie de la guerre et la comédie du pouvoir, fait en réalité un voyage au bout de lui-même.
Bernard-Henri Lévy a tenu le journal de quatre ans de combats en faveur de la Bosnie.
Le philosophe Bernard-Henri Lévy publie un ouvrage qui fait le point sur ses années d’engagement pour la Bosnie.
Depuis 1992, Bernard-Henri Lévy se bat pour la Bosnie et tient son journal de guerre, « Le Lys et la cendre ». Une ode aux combattants de Sarajevo, mais aussi un réquisitoire sévère contre les intellectuels parisiens et les hommes politiques français.
L’auteur de « L’Idéologie française » explique pourquoi le président a eu raison de dissoudre l’Assemblée nationale. Et appelle à sauver le « soldat République ».
La fascination de Bernard-Henri Lévy pour la gent intellectuelle, pour, plutôt, l’intelligentsia, se double d’une passion pour la littérature et les livres. Et cette passion lui fait regretter le temps volé aux écrivains politiques.
Bernard-Henri Lévy fait leur éloge et, dans un essai sur Aron et Sartre, Étienne Barilier se demande s’ils sont en train de disparaître.
Jorge Semprun a lu « Éloge des intellectuels » de Bernard-Henri Lévy, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut. Le débat est ouvert.
« Éloge des intellectuels », le dernier essai de BHL, vient de paraître. Notre collaborateur Guy Konopnicki, dont le prochain livre est publié par BHL lui-même, nous donne ici, ès qualités, son point de vue.
Dans son dernier livre, Bernard-Henri Lévy se pose la question de savoir si les intellectuels sont coupables. Et si oui, de quoi ?
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