Sous l’Iran, un oubli, la Perse, explique le philosophe, qui raconte comment cette dénomination est tombée en désuétude.
Lire la tribune de Bernard-Henri Lévy, Natan Sharansky et Elisha Wiesel pour les Ouïghours parue dans le New York Times.
Les massacres du 7 octobre ont inspiré à Bernard-Henri Lévy et Gérard Araud deux livres, deux réflexions profondes et complémentaires sur Israël, son peuple et son histoire. Le lyrisme du philosophe et le réalisme du haut diplomate se rejoignent dans un même idéal de justice.
BHL explique pourquoi il continue de défendre le petit État-refuge laissé par les nations au plus vieux peuple persécuté du monde.
François Heilbronn est professeur associé à Sciences Po. Pour le « JDD », il revient sur l’ouvrage de Bernard-Henri Lévy, « Solitude d’Israël », et livre une chronique riche en histoire et en émotions.
Pour son feuilleton, Bertrand Poirot-Delpech a lu « Éloge des intellectuels » de BHL, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut.
Bernard-Henri Lévy fait leur éloge et, dans un essai sur Aron et Sartre, Étienne Barilier se demande s’ils sont en train de disparaître.
En racontant le « plus vieux peuple persécuté du monde », confronté une nouvelle fois, le 7 octobre, à « la plus vieille de toutes les haines » et à sa solitude, BHL a, selon Mathieu Laine, écrit un de ses plus grands livres.
Après l’attentat de Moscou, le philosophe rappelle aux « âmes libres du monde » que c’est le même combat qui se joue face à Poutine et au djihadisme.
« Solitude d’Israël » de Bernard-Henri Lévy sort en librairie ce 20 mars. Critique.
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