Le philosophe, qui est allé plusieurs fois dans le camp de réfugiés de Moria, tire les leçons, pour l'honneur de l'Europe, de cette catastrophe annoncée.
Face aux délires impérialistes des pyromanes Poutine et Erdogan, notre pays doit trouver le courage de soutenir une minorité attaquée.
Malgré le Covid qui occupe l’actualité, notre chroniqueur nous rappelle combien notre monde ne s’est jamais si mal porté depuis la fin de la guerre froide.
Quand la ville de Paris honore le commandant Massoud, assassiné le 9 septembre 2001, en baptisant une allée à son nom, le philosophe se souvient de son ami.
Le retrait des troupes américaines d’Afghanistan signifie, pour le philosophe, le retour tragique d’Al-Qaïda, de Daech et des talibans.
Après l’abandon du peuple afghan par les États-Unis, le seul espoir qui demeure a pour nom Ahmad Massoud, fils du commandant Massoud.
On voit les cinq Rois des empires déchus – perse, turc, chinois, russe, arabe – partir à la reconquête de leur gloire passée. Que le désordre du monde a plus de sens qu’il n’y paraît quand on le voit avec les yeux des penseurs et des poètes. Bernard-Henri Lévy, philosophe et écrivain, propose ici sa lecture des barbaries contemporaines.
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