« Le Lys et la Cendre » est un grand livre, un journal de guerre, qui traite d’un grand sujet : l’hésitation. Il est temps d’admettre le génie de BHL.
Dans son dernier essai BHL explique en quoi le 7 octobre fut pour « Israël un moment de vertige », le signe d’une solitude.
Les massacres du 7 octobre ont inspiré à Bernard-Henri Lévy et Gérard Araud deux livres, deux réflexions profondes et complémentaires sur Israël, son peuple et son histoire. Le lyrisme du philosophe et le réalisme du haut diplomate se rejoignent dans un même idéal de justice.
BHL était l'invité de Benjamin Petrover sur i24 News, au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme. Il évoque son livre, « Solitude d'Israël », fruit d’une promesse faite aux habitants de l’état hébreu après les massacres du 7 octobre.
Il faut saluer le vote budgétaire américain en faveur de l’Ukraine, d’Israël et de Taïwan. Car c’est d’une nouvelle guerre mondiale qu’il s’agit : celle qui oppose les démocraties à l’Internationale illibérale.
Le philosophe était au Portugal au moment de la révolution des Œillets. Il témoigne.
BHL explique pourquoi il continue de défendre le petit État-refuge laissé par les nations au plus vieux peuple persécuté du monde.
François Heilbronn est professeur associé à Sciences Po. Pour le « JDD », il revient sur l’ouvrage de Bernard-Henri Lévy, « Solitude d’Israël », et livre une chronique riche en histoire et en émotions.
Dans son dernier essai, BHL s’attaque à la pensée simpliste des bateleurs, et définit l’intellectuel de demain, un intellectuel « du troisième type ».
La pensée a-t-elle sa place dans le théâtre médiatique ? Dans « Éloge des intellectuels », Bernard-Henri Lévy dit que oui. Mais il oublie que les médias ont aussi une histoire. La télévision change sous nos yeux. La sphère enchantée de ses stars a sa logique qui mérite peut-être d’être « pensée ».
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