Résultats pour « Allemagne »

Bono, Azov et le 8 mai

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 13 mai 2022

Bono chante à Kiev. Le bataillon Azov lance un appel à l’aide. Quand Poutine parade et poursuit son carnage de dénazification hors ses murs.

Jean-Marie Colombani

Si BHL a été un grand reporter du « Monde », son directeur Jean-Marie Colombani voyait un lui un intellectuel qui ne « s’est pas ou peu trompé ».

Le vrai visage du Front national

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 03 mai 2002

Il nous reste quatre jours pour convaincre nos proches de voter en masse, sans état d’âme, pour Jacques Chirac, contre Le Pen.

Martin Heidegger

Peut-on être à la fois un grand philosophe et un salaud ? BHL s’est posé la question dans le cas de Martin Heidegger.

Simone Veil

BHL voyait en Simone Veil « une conscience, une sorte d’étoile fixe ». Récit de leur amitié en quelques citations.

Penser Le Pen

Bernard-Henri Lévy, La Règle du jeu, 01 septembre 1990

Le texte de fond consacré par Bernard-Henri Lévy, dans « La Règle du jeu », en juin 1990, au Front National et à son idéologie. Plus d’un quart de siècle après, ce texte n’a pas pris une ride.

Premier tour

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 08 avril 2022

Pour empêcher le camp populiste d’accéder à l’Élysée, il faut, dès le premier tour, voter pour un second quinquennat d’Emmanuel Macron.

Les paradoxes de Viktor Orbán

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 17 avril 2019

Alors que l'Europe est à la veille d'élections cruciales, le philosophe Bernard-Henri Lévy a rencontré à Budapest le controversé Premier ministre hongrois.

Bernard-Henri Lévy : comment trouver la volonté de voir ?

Bernard-Henri Lévy, La Règle du jeu, 25 mars 2022

BHL et Bill Clinton dialoguent à propos de l'Ukraine et de ces « guerres oubliées » que nous nous obstinons à ne pas voir.

BHL : « Mélenchon ou Zemmour se sentent plus proches de Poutine que de leur propre pays »

Bernard-Henri Lévy (entretien), L’Express, 01 mars 2022

Organisant ce soir un meeting « S.O.S Ukraine », le philosophe Bernard-Henri Lévy rappelle que le seul « va-t-en guerre », c'est Poutine.