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Résultats pour « Nationalisme »

Bernard-Henri Lévy part en guerre contre la « pureté »

Alain Minc, Le Figaro, 09 novembre 1994

Un essai lyrique, pédagogue et prophétique qui montre comment combattre avec les mots face aux idéologies, ne pas transiger et s’en tenir à l’universalisme.

La pureté dangereuse, résurgence ou régression ?

A. Toudert, El Watan, 19 janvier 1995

Bien documenté sur certaines questions, avec des références à une multitude de penseurs, le livre BHL pose de nouvelles problématiques.

27 janvier 1975 : premier numéro de « L’Imprévu »

« L’imprévu » a été la première grande entreprise éditoriale de BHL en 1975. Il s'agissait pour le jeune philosophe de créer de toutes pièces un quotidien de gauche populaire. Ce projet ambitieux et louable dura onze numéros.

L’étrange défaite de Bernard-Henri Lévy

Paul Guilbert, Le Figaro, 14 février 1996

Comment un intellectuel, racontant la tragédie de la guerre et la comédie du pouvoir, fait en réalité un voyage au bout de lui-même.

L’avenir de l’Europe se joue toujours à Sarajevo

Jacques Franck, La Libre Belgique, 23 février 1996

Bernard-Henri Lévy a tenu le journal de quatre ans de combats en faveur de la Bosnie.

Bosnie, mon amour

Edmonde Charles-Roux, La Provence, 17 mars 1996

BHL, dans « Le Lys et la cendre », s’interroge : face aux guerres qui se sont déchaînées en Bosnie, quel est le rôle de l’intellectuel ?

Époque

Jean-Marie Rouart, Le Figaro, 22 février 1996

Lévy a compris que l’écrivain ne transforme plus le monde par son art ; il doit, s’il veut trouver un écho, être sur la place publique, dans les assemblées, monter au créneau des grandes causes.

Intellectuels français et « machines infernales » au nom du culte de la pureté

François Bittendiebel, Dernières Nouvelles d’Alsace, 11 mars 1991

Bernard-Henri Lévy, en quatre films d’une heure et dans un livre, tente de percer le mystère de cette espèce éteinte : les clercs.

Et s’il n’en reste qu’un…

Michel Ragon, Page des libraires, 01 mars 1991

La fascination de Bernard-Henri Lévy pour la gent intellectuelle, pour, plutôt, l’intelligentsia, se double d’une passion pour la littérature et les livres. Et cette passion lui fait regretter le temps volé aux écrivains politiques.

À quoi servent les intellectuels ?

Jacques Godbout, L’Actualité, 15 juin 1991

L’intellectuel a deux caractéristiques principales, comme deux taches de naissance. Prophète, il nous montre la voie du paradis. Juge, il dénonce l’enfer des autres.